Afficher le sommaire Masquer le sommaire
L’émission « Affaire conclue » de Sophie Davant va peut-être rencontrer une belle surprise ! Dans un prime inédit un vendeur propose un vase conçu par Émile Gallé. Cet objet historique pourrait effectivement faire grimper la fortune de son propriétaire !
Affaire conclue : Les articles historiques affluent !
Ceux qui se passionnent dans les objets historiques peuvent se régaler en regardant « Affaire conclue ». Dans cette émission, de nombreux vendeurs exposent des articles qu’ils pensent pouvoir détenir une valeur réelle très élevée. En procédant ainsi, ils bénéficient de meilleurs gains significatifs !
Le cas de Caroline figure parmi les plus notoires ! Cette dernière a trouvé un miroir signé Line Vautrin dans un vide-grenier. Après avoir acheté l’article, elle le remet à Harold Hessel pour une estimation. À tous les coups, cet expert de l’émission « Affaire conclue » connaît le véritable prix des objets.
Le miroir en question possède quelque chose de très particulier ! En effet, Line Vautrin a carrément inventé un tout nouveau matériau afin de le fabriquer. Pour cela, il utilise des couches de résines traitées pour obtenir ce qu’il appelle désormais le talosel.
À lire Affaire conclue dans la tourmente : cette vente a provoqué le scandale sur la Toile
L’analyse d’Harold Hessel déclare que le miroir vaut près de 6 000 euros. Mais les acheteurs ne sont pas du même avis que lui. Ainsi, cet artefact sera l’objet le plus cher de l’émission « Affaire conclue ». Toutefois, sa place pourrait revenir au vase d’Émile Gallé !
Les acheteurs s’arrachent l’objet d’art !
Les acheteurs dans « Affaire conclue » sont loin d’être des personnes ordinaires. En réalité, ils savent très bien ce qu’ils font, malgré les critiques des internautes. Voilà pourquoi ils peuvent donc faire preuve d’une véritable hargne afin d’obtenir tel ou tel objet.
Benoît Charraudeau et Damien Tison rivalisent afin d’obtenir le miroir Line Vautrin. Après de nombreux surenchérissements, l’artefact tombe finalement dans les mains du premier.
Néanmoins, il risque gros dans cet investissement, car il doit débourser 127 000 euros ! Toutefois, tout le monde s’accorde à dire qu’il sait exactement ce qu’il fait.
Cette fois-ci, la propriétaire de l’objet se sent ravie après avoir entendu le montant final. D’ailleurs, qui ne le serait pas ? Au début, elle avait prévu d’obtenir quelques milliers d’euros grâce à « Affaire conclue ». Mais ses gains atteignent finalement une somme astronomique !
À lire Affaire conclue en pleine polémique : une retraitée brade son collier, la Toile scandalisée
D’après la vendeuse dans « Affaire conclue » : « Grâce à l’argent de la vente, j’ai pu lancer ma microentreprise dans le domaine de l’antiquité et la brocante et me former à la restauration des miroirs anciens à la feuille d’or. C’était une belle surprise ».
Les acheteurs dans « Affaire conclue » bénéficient-ils de certains avantages ?
D’emblée, il faut savoir que tout le monde se rend à « Affaire conclue » pour faire des affaires. Personne n’irait acheter un objet d’art s’il ne peut pas en retirer une quelconque satisfaction. Et Benoît Charraudeau ne dira pas le contraire !
Il déclare avoir déjà trouvé un acquéreur à l’article en question. D’après ses dires : « Un homme d’affaires en Asie tourne autour. Plus précisément, il a sélectionné plusieurs de mes miroirs signés Line Vautrin et négocié une somme globale pour le lot ».