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Karen Perrin, l’épouse de l’ancien joueur de l’équipe de football américain Washington Redskins, Lonnie Perrin, a vécu une aventure qui la rendue aussi célèbre que son mari en Amérique.
En effet, cette jeune femme a vécu huit heures terrifiantes dans les toilettes de son lieu de travail. À tel point qu’elle se voyait mourir. Mais que s’est-il donc passé dans ces toilettes ?
Un petit tour aux toilettes qui vire au cauchemar !
Ce qui a commencé comme un aller-retour rapide innocent aux toilettes des dames de son lieu de travail a viré au cauchemar pour Karen Perrin.
En effet, son passage aux toilettes a pris fin huit heures terrifiantes plus tard.
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Karen Perrin, l’épouse de l’ancien porteur de ballon des Washington Redskins Lonnie Perrin, travaille comme assistante principale à la Fondation Bill et Melinda Gates à Washington, DC.
Ce jour là, elle est restée au bureau jusqu’à 22 heures pour organiser le voyage de son patron à l’étranger.
Une fois qu’elle a fini de peaufiner tous les détails de ce voyage Karen Perrin a téléphoné à son footballeur de mari pour lui faire savoir qu’elle rentrerait chez elle dans 10 à 15 minutes.
Karen Perrin a ramassé ses affaires mais a décidé de faire un passage aux toilettes avant de prendre la route. Laissant ses affaires et son téléphone portable sur son bureau, elle a pris la direction des toilettes.
Après être sortie de la cabine de toilettes, elle s’est alors lavé les mains et a pris la direction de la porte principale des toilettes… Mais celle-ci s’est avérée verrouillée !
« Je n’avais plus d’espoir. Et je pensais vraiment que j’allais mourir là-dedans »
Tentant coûte que coûte d’ouvrir cette porte bloquée, Karen Perrin restait enfermée.
Criant, tentant désespérément de frapper fort sur les murs et contre la porte, elle ne se faisait pas entendre.
« Je n’avais plus d’espoir. Et je pensais vraiment que j’allais mourir là-dedans à cause du stress et de l’anxiété » a-t-elle expliqué au Daily Mail.
Incapable d’appeler à l’aide, Karen Perrin a commencé à tirer des serviettes en papier et à les glisser sous la porte des toilettes dans l’espoir d’attirer l’attention d’un agent de sécurité ayant les yeux sur les caméras de surveillance.
« J’ai probablement sorti 200 serviettes », a-t-elle alors expliqué. « Mais après que personne ne soit venu me secourir, j’ai réalisé que je devais faire autre chose. »
Huit longues heures dans les toilettes
De plus en plus nerveuse, la femme piégée secoua le loquet, lui donna un coup de pied, mais il ne bougea pas.
« C’est là que ça m’a frappé », se souvient-elle. « Je suis enfermé ici. »
Karen Perrin a passé les huit heures suivantes à tenter désespérément de s’échapper.
Finalement, elle a réussi à creuser un trou dans la porte des toilettes. Elle y a passé sa main l’a débloquée depuis l’extérieur.
