L’amour est dans le pré : un agriculteur phare condamné à la prison !

Les adeptes de « L'amour est dans le pré » sont sous le choc ! Cet agriculteur phare de l'émission est condamné à la prison !

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Laurent Levacher est un agriculteur âgé de 48 ans qui avait fait une apparition dans l’émission de télévision « L’amour est dans le pré ». Et récemment, il a reçu un jugement en étant coupable d’abandon d’animaux à Rouen. Ainsi, il a écopé d’une peine de quatre mois de prison avec sursis.

« L’amour est dans le pré » : L’avis de l’avocat concernant la situation !

Lors de l’audience devant le tribunal correctionnel de Rouen le 8 septembre, le parquet avait requis une peine de huit mois de prison. Et cela, avec sursis à l’encontre de l’agriculteur de « L’amour est dans le pré », Laurent Levacher.

L’avocat du prévenu, Me Romain Degoutte, a annoncé son intention de faire appel de la décision. Il a exprimé sa déception quant au jugement. L’agent administratif a souligné que M. Levacher n’a reçu aucune interdiction d’exercer sa profession d’éleveur.

Il a également évoqué que les demandes des parties civiles ont été largement réduites. Cependant, le tribunal n’aurait pas accordé l’attention nécessaire au dossier lors de l’audience, selon l’avocat.

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Laurent Levacher (« L’amour est dans le pré »), l’agriculteur en question, a fait face à des accusations en lien avec son activité agricole. Bien que le tribunal ait prononcé une peine de huit mois de prison avec sursis, il semble y avoir des points de désaccord. Et cela, quant à la manière dont l’affaire a été traitée.

Une enquête de flagrance !

Me Romain Degoutte est l’avocat de Laurent Levacher (« L’amour est dans le pré »). Et selon elle, l’accusation à l’encontre de son client se basait uniquement sur des allégations de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP).

Laurent Levacher (« L’amour est dans le pré ») n’aurait pas réussi à fournir de preuve concrète de négligence dans les soins. Mais également, dans l’abreuvement ou l’alimentation de ses bovins au cours des quatre dernières années.

L’enquête en flagrance a vu le jour en mars 2023 à la suite d’un signalement de la DDPP au procureur de la République. Elle était suivie d’une saisie du cheptel par les services de la préfecture.

Le cas de Laurent Levacher, l’agriculteur accusé, semble reposer sur des allégations contestées. Et son avocat estime que la DDPP n’a pas pu étayer ses accusations de négligence envers les bovins. Cela soulève des questions sur la solidité des preuves présentées dans cette affaire.

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« L’amour est dans le pré » : « J’ai tout donné pour mes animaux »

Au moment de la saisie, l’exploitation comptait 432 bovins sur une superficie de 151 hectares. Le tribunal a ordonné la confiscation des bovins. Ces derniers reviendront à la fondation Brigitte Bardot avec la liberté de disposer d’eux comme elle le souhaite.

Lors de l’audience, Laurent Levacher (« L’amour est dans le pré ») avait exprimé sa profonde préoccupation pour la santé de ses animaux. Il avait souligné son dévouement envers eux.

La représentante du parquet de Rouen, Elise Mallet, avait quant à elle remis en question la capacité du prévenu à exercer sa profession de manière satisfaisante. Elle avait mis en avant 17 mains courantes pour absence de soins. Elle avait ainsi précisé les inquiétudes concernant les conditions de vie des animaux sur l’exploitation de Laurent Levacher.

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