Afficher le sommaire Masquer le sommaire
Seuls les vendeurs et la production le savent, mais il existe de nombreuses règles dans l’émission « Affaire conclue ». Avant de passer à l’écran, le choix de l’objet doit se faire de manière assez minutieuse. Et même après la vente, tous les acheteurs doivent respecter des étapes spécifiques !
Des discussions préalables dans « Affaire conclue »
Bien avant l’intervention des caméramans, ceux qui veulent vendre leurs artefacts doivent passer par toute une série de sélections. Ce qui est tout à fait normal, sinon ce serait très difficile de gérer le nombre de vendeurs ! À ce moment, un des principaux responsables dans l’émission « Affaire conclue » fait son entrée.
Pour évaluer la valeur réelle d’un objet, les organisateurs d’« Affaire conclue » font confiance à une seule personne. Il s’agit d’Harold Hessel, le principal commissaire-priseur de l’émission. D’après Renaud Rahard : « On demande des photos aux vendeurs et si on a des interrogations, on peut faire une visio ».
Il ajoute également : « On entame ensuite une discussion avec le vendeur pour connaître ses attentes. Si quelqu’un pense que son objet vaut 10 000 euros et qu’Harold l’estime à 400, ça ne va pas mettre une ambiance de rêve ».
À lire Affaire conclue dans la tourmente : cette vente a provoqué le scandale sur la Toile
Pour chaque objet sélectionné, la production d’« Affaire conclue » organise tout un trajet spécifique ! Elle se charge de l’acheminement et du stockage des artefacts. Avant de faire face à Julia Vignali, trois autres commissaires-priseurs effectuent une dernière observation des objets.
Pour une transaction plus fluide et plus sécurisée !
Toute personne pouvant discuter avec les acheteurs et avec la présentatrice peut être fière d’elle. Cela veut effectivement dire que son objet possède une certaine valeur aux yeux des organisateurs d’« Affaire conclue ». Vient ensuite la phase de négociation !
Comme on le sait tous, chaque vendeur a le droit de terminer la partie à tout moment. Pour cela, il n’a qu’à taper de la main ! Là, les célèbres scènes de petites querelles, voire de disputes dans « Affaire conclue » surviennent. Et pour finir, les deux parties s’engagent concernant le mode de paiement.
Toujours selon Renaud Rahard : « Tout est cadré et encadré. Les vendeurs reconnaissent la transaction avec l’acheteur en signant un papier ». Forcément, après la pandémie du coronavirus, tout le monde préfère se tourner vers le paiement à distance. Afin de régler son dû, l’acheteur procède par virement ou offre un chèque.
Le directeur des programmes chez Warner explique : « C’est plus fluide. Ça évite aux marchands de venir avec leur argent et aux équipes d’avoir du cash par précaution ». Ainsi, la production de l’émission « Affaire conclue » n’a pas à dépanner ses acheteurs si ces derniers manquent de liquidité.
À lire Affaire conclue en pleine polémique : une retraitée brade son collier, la Toile scandalisée
Un droit fondamental en faveur des vendeurs dans « Affaire conclue » !
Contrairement à ce que tout le monde pense, la vente ne s’arrête pas là ! Le vendeur bénéficie de 5 jours au cours desquels il peut se désister. Toujours d’après Renaud Rahard : « C’est une liberté importante qu’on leur accorde car il y a quand même du stress entre l’expertise et la vente ».
Ce personnage phare dans « Affaire conclue » déclare également : « Si en rentrant à la maison, la famille du vendeur estime qu’il s’est fait avoir, il faut qu’il puisse se rétracter. Certains peuvent également avoir une angoisse à l’idée de se séparer de l’objet ».
