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Ce numéro de « Quelle époque ! » de Léa Salamé promet de nombreuses surprises. Face à la présentatrice, Gims raconte des anecdotes assez inattendues concernant sa mère. Il garde un mauvais souvenir envers les forces de l’ordre !
Maître Gims fait son mea culpa !
Le samedi 27 mai 2023, Léa Salamé retransmet en direct la cérémonie de clôture du Festival de Cannes. En même temps, elle reçoit de nombreuses célébrités sur son plateau. On recense entre autres la ministre Rima Abdul Maman, Thomas Langmann, Michel Denisot, ou encore Maître Gims.
Ce dernier parle d’abord de son nouvel album intitulé « Les dernières volontés de Mozart ». En même temps, Gims revient un peu sur ses propos concernant l’ancienne civilisation égyptienne. L’artiste déclare que les pharaons disposaient déjà de l’électricité. Une séquence de deux minutes qui ne cesse de faire parler d’elle !
Même si Gims provoque une polémique sans précédent, il ne regrette rien. Il le dit clairement : « Je ne regrette pas, parce que j’ai blessé personne ». Contrairement à cela, l’artiste se sent désolé après ses déclarations envers certains musulmans.
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Selon ses dires, il n’aurait pas dû les empêcher de lui présenter leurs vœux. De l’interprète de « Bella » : « Ça je regrette… mes parents sont chrétiens… je regrette, j’aurais pas dû faire ça, le timing était pas bon… ». Il clôt le sujet en disant : « C’était une connerie, c’est sûr ».
« Je n’oublierais jamais le visage de ma mère menottée face contre terre »
Avant d’être un rappeur à succès, Maître Gims vivait dans un endroit peu recommandé. En réalité, lui et sa famille devaient s’installer dans un des squats de sa banlieue. Mais un jour, la police arrive et les somme de sortir de la maison à cause de factures impayées.
Toujours d’après Gims : « Des huissiers et la police défoncent la porte, je n’oublierais jamais le visage de ma mère menottée face contre terre lors d’un de ces raids ». Par la suite, il raconte comment sa famille a pu en arriver là à cause de ses difficultés financières.
Malgré leur expulsion, Gims garde surtout le mauvais souvenir du fait que les policiers ont maltraité sa mère. Selon lui : « Ils mettent tout le monde par terre, ma mère, ils l’ont giflée, après ils l’ont mise par terre, menottes, face contre terre, un genou sur la tempe… c’était pas utile ».
D’après les explications de l’artiste, les policiers les traitaient comme des trafiquants de narcotiques. Pourtant, ils n’avaient rien fait de mal. Ils cherchaient simplement un toit où habiter, ou squatter, selon ses termes. Après l’incident, le « rappeur ténor » essaie de suivre le droit chemin, même si la vie ne lui fait pas de cadeau.
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Maître Gims : « On s’adapte à toutes les situations » !
Le sujet ayant basculé dans le domaine de la drogue, Maître Gims partage son expérience. Il raconte : « j’ai partagé des squats avec des drogués, des dealers. On m’a proposé de faire un peu de business, de faire passer, quand j’étais gamin, mais non… j’étais tellement absorbé par la musique, le dessin ».
Il explique son point de vue en disant : « c’était beaucoup plus dur, mais c’est en vérité une période où je n’ai pas eu besoin d’argent… je ne pensais pas à ça en fait, c’était le souci de mes parents ». À la fin de la conversation, il avoue : « quand on est gamin, on s’adapte à toutes les situations ».
