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Frédéric François est connu dans la France entière. L’auteur-compositeur-interprète et producteur a vu sa carrière exploser dans les années 80 et 90. Avec ses talents de musicien, il a connu le succès.
« On nous a annoncé qu’on les avait perdus »
Frédéric François a écrit plusieurs grands morceaux qui continuent d’être écoutés malgré le temps qui passent. C’est notamment le cas avec son hit « Je t’aime à l’italienne » qui résonne encore en tête.
Une chose est sûre, la carrière de Frédéric François est une vraie réussite. Côté privé, il a aussi réussi. C’est en 1971 qu’il est devenu père avec son épouse Monique. Les deux ont fondé une belle famille et ont eu quatre enfants.
Si leur bonheur est complet, un terrible drame va venir assombrir cette belle famille. À la fin des années 80, Monique est enceinte de jumeaux. Une incroyable nouvelle pour le chanteur qui se faisait une joie d’agrandir sa famille.
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Malheureusement, Monique fait une fausse couche et les deux bébés perdent la vie. Dans une interview accordée à Télé Ciné Revenue, Frédéric François a d’ailleurs fait des confidences à ce sujet. Il a confié : « Ça a été un événement douloureux ».
Avant d’ajouter aussi : « On avait commencé à tout préparer pour leur arrivée. Puis, on a dû aller à l’hôpital en urgence, et on nous a annoncé qu’on les avait perdus. Il a fallu du temps pour s’en remettre ».
Frédéric François et sa femme Monique anéantis
Frédéric François et sa femme Monique vivent alors une période très difficile. « C’était un cauchemar. On a décidé très vite d’avoir un autre enfant. C’est ainsi que Victoria est arrivée. Ça a permis d’atténuer la douleur. Mais une perte pareille ne s’oublie pas ».
Si les deux ont réussi à avancer malgré cette terrible perte, c’est notamment grâce à leur complicité. Dans une interview accordée au magazine Nous Deux, l’artiste avait fait des confidences.
Frédéric François a expliqué : « Notre histoire repose sur la complicité et les valeurs qu’on véhicule. On a essayé, elle plus que moi, de faire en sorte que la vie soit douce, de ne pas passer le temps qui nous est donné à nous chamailler« .
Avant d’ajouter : « Je dois la féliciter pour ce qu’elle a fait. Capitaine à bord, elle s’occupait des enfants. Elle avait un mari pas comme les autres, qui avait un public féminin ».
Frédéric François a souligné : « Je n’ai jamais trouvé ma valise sur le pas de la porte. C’est ma première fan, elle m’a toujours encouragé. Mais elle regrette parfois de ne pas avoir un mari bricoleur… Je ne sais pas planter un clou ».
