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Certains vendeurs d’Affaire conclue sont tellement convaincus que les produits qu’ils présentent valent la peine d’être acheté qu’ils sont parfois très insistants. Or, cela peut jeter un froid dans la salle des ventes, surtout quand les acheteurs ne font pas monter les enchères. C’est exactement ce qu’il s’est passé avec Frédéric. Les téléspectateurs ont assisté à des échanges tendus. On vous raconte tout.
Affaire conclue : des acheteurs peu emballés
Participer à Affaire conclue ne signifie pas, pour les vendeurs, qu’ils vont forcément vendre l’objet qu’ils présentent. Ils ont la chance de le faire expertiser par un professionnel et de rencontrer les acheteurs. Mais les acheteurs d’Affaire conclue ne sont pas toujours emballés par les objets présentés. Pour rappel, c’est leur propre argent qu’ils dépensent. Alors autant être certain que l’objet pourra se revendre facilement.
Dans d’autres cas, ce sont les vendeurs d’Affaire conclue qui refusent la vente. Cela se passe quand ils considèrent généralement que la somme proposée par le dernier acheteur n’est pas suffisante. Alors ils repartent les mains vides.
On a l’impression, en voyant certaines séquences, que les enchères montent très vite. Et Frédéric pensait sans doute, en participant à Affaire conclue, que cela allait être le cas pour lui. Mais cela n’a malheureusement pas été le cas.
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Un échange tendu dans Affaire conclue
Frédéric espère convaincre les acheteurs en apportant un sérigraphe qui représente Arthur Rimbaud. Avant d’entrer dans la salle des ventes, il apprend par Harold Hessel que son bien peut être estimé à 1 800 euros. Une très belle somme. C’est donc confiant qu’il se présente face aux acheteurs d’Affaire conclue.
Mais sur place, les avis ne sont pas les mêmes. Les enchères ne décollent pas. Elles n’atteignent pas le cap des 1 000 euros. L’état général du sérigraphe dérange les acheteurs d’Affaire conclue. « Il n’est pas en bon état, ça va être compliqué... », explique par exemple Caroline Margeridon.
Frédéric tente alors de justifier l’état du sérigraphe. « Tout simplement parce que c’est un papier journal. Et bien souvent le papier journal, il dure une journée et après, il part aux épluchures… »
Frédéric repart déçu
Anne-Catherine Verwaerde se montre généreuse puisqu’elle finit par proposer 1 500 euros. On se rapproche donc de l’estimation donnée par l’expert d’Affaire conclue. Mais ce n’est pas assez pour Frédéric. Il tente alors de convaincre les acheteurs d’augmenter les enchères.
« Je ne sais pas quoi en penser… Ce que je peux dire pour défendre l’œuvre, c’est qu’elle va prendre de la valeur avec le temps. Le même Rimbaud, édition La Marseillaise, a été vendu 9 100 euros« . Mais cette intervention ne plaît pas à Caroline Margeridon qui intervient alors. « Moi je pense qu’Anne-Catherine vous a déjà fait une très belle offre…« .
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Frédéric finit par parler de l’estimation et Anne-Catherine Verwaerde accepte et propose 1 600 euros. « Je voudrais la faire restaurer, mais je sais que ça va coûter très cher pour la pérenniser dans le temps. Du coup, je veux bien monter à 1600. Mais ce sera ma dernière offre... »
Mais le vendeur d’Affaire conclue voulait plus et décide donc de repartir les mains vides. Ou plutôt avec son sérigraphe.